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Un spectacle de la
Cie Malka
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Direction artistique
Bouba Landrille Tchouda
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Réalisation
Mohamed Athamna
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Production
Marie-Pierre Bousquet
Chorégraphies Bouba Landrille Tchouda & Mickaël Le Mer
Aide à la diffusion ONDA
Soutiens DJCS de Guyane, Ministère de la Culture au titre des Olympiades Culturelles en Outre-Mer, Ministère des Outre-Mer, Spédidam, Adami
Remerciements La Faiencerie à Creil, Centre CASE Energia Pura à Cayenne, CMDTG à Cayenne, Ecole de danse Giannone à St-Martin-d’Hères, Théâtre Municipal de Grenoble, le CCN de Roubaix
Photo © Cie Malka
Filmé à La Friche la Belle de Mai dans le cadre du Festival La 1ère
Product Description
Break, comme break dance, mais aussi comme « PAUSE/POSE ».
DO, comme dans juDO, qui signifie « VOIE », « CHEMIN », « ROUTE ».
Le·la judoka·te, comme le·la breakeur·euse a un rapport singulier au sol. Tou·te·s deux se jouent de leurs appuis multiples : les pieds, le bassin, le dos, les bras… iels recherchent une forme de stabilité dans le déséquilibre, juste avant la suspension puis la chute. Le·la judoka·te danse avec son adversaire pour mieux le projeter au sol. Le·la danseur·euse défie sans cesse les lois de l’apesanteur en s’appuyant sur les fondamentaux que sont le poids, l’espace, le temps, le rythme, le mouvement, la créativité, et le rapport à la musicalité émergent de son corps. Les dynamiques, les fulgurances, l’énergie, l’ancrage, l’effort participent à la recherche d’une certaine harmonie entre le corps et la tête, l’esprit et le geste. Les communs sont nombreux entre cette danse et ce sport.